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ok en poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. en savoir plus . « la france, la patrie dont je ne saurais déraciner mon cœur. j’y suis né, j’ai bu aux sources de sa culture. j’ai fait mien son passé, je ne respire bien que sous son ciel, et je me suis efforcé, à mon tour, de la défendre de mon mieux ». marc bloch, « l’étrange défaite », septembre 1940. chargement… en librairie vous pouvez acheter ces livres en ligne pour me joindre documents s’abonner à ce blog catégories commission veil - hci discrimination positive éducation - instruction identité immigration insertion - intégration politique revue de presse notes récentes le triomphe du parti des médias pour la france, je vote françois fillon je reçois le prix honneur et patrie de la légion d’honneur décomposition française : comment en est-on arrivé là ? liberté, j’écris ton nom s’élever au-dessus des intérêts partisans les misérables le regard de jacques marseille la politique de la terre brûlée les valeurs de françois bayrou et celles de la république tags populaires insertion nationalité france culture discrimination positive diversité nation laïcité politique violence éducation fillon yade intégration école immigration banlieues sabeg identité sarkozy dati archives lun. 01 mai - dim. 07 mai lun. 17 avril - dim. 23 avril lun. 06 juin - dim. 12 juin lun. 09 nov. - dim. 15 nov. lun. 15 déc. - dim. 21 déc. lun. 07 mai - dim. 13 mai lun. 30 avril - dim. 06 mai lun. 23 avril - dim. 29 avril lun. 16 avril - dim. 22 avril lun. 09 avril - dim. 15 avril toutes les archives 05 mai 2017 le triomphe du parti des médias notre démocratie a été prise en otage par le parti des médias (le pdem). c’est lui, le pdem, qui aujourd’hui triomphe. les citoyens pensent disposer d’un libre arbitre quand ils sont déjà, pour beaucoup, enchaînés et soumis. un jour, j’en ai l’intime conviction, cette vérité éclatera, mais il sera alors probablement trop tard pour la france en voie de décomposition – ou de partition , pour reprendre la terminologie de françois hollande, qui confirme ainsi dans ses confidences aux journalistes davet et lhomme la justesse de mes écrits, et le bien-fondé des signaux d’alerte que j’ai lancés toutes ces dernières années en direction d’une société qui épouse de plus en plus, et sans le savoir, les traits d’un « troupeau d’animaux timides et industrieux dont le gouvernement est le berger », exactement comme l’avait prédit alexis de tocqueville . et c’est ainsi que « les moutons vont à l’abattoir. ils ne se disent rien, eux, et ils n’espèrent rien. mais au moins ils ne votent pas pour le boucher qui les tuera, et pour le bourgeois qui les mangera. plus bête que les bêtes, plus moutonnier que les moutons, l’électeur nomme son boucher et choisit son bourgeois. il a fait des révolutions pour conquérir ce droit. » octave mirbeau 10:59 écrit par malika sorel | lien permanent | commentaires ( 0 ) | tags: politique | 19 avril 2017 pour la france, je vote françois fillon 23:22 écrit par malika sorel | lien permanent | commentaires ( 0 ) | tags: fillon , politique | 08 juin 2016 je reçois le prix honneur et patrie de la légion d’honneur excellente nouvelle ! mon livre « décomposition française : comment en est-on arrivé là ? » se voit décerner le prix littéraire honneur et patrie de la société des membres de la légion d’honneur . je ressens un très grand bonheur, un bonheur qui donne de la force pour notre combat commun. le prix honneur et patrie m’a été remis au palais de la légion d’honneur par le grand chancelier de la légion d’honneur, jean-louis georgelin. le jury du prix honneur et patrie est présidé par le général d'armée hervé gobilliard. c’est monsieur henry bonnier, membre du jury, écrivain et éditeur, grand prix de la critique de l’académie française pour l’ensemble de son œuvre, qui a fait la présentation de mon livre. voici le contenu de son discours, suivi de mon discours de remerciements. prix honneur et patrie 2016 présentation de « décomposition française » par henry bonnier madame, je suis accablé, et voici pourquoi. lorsque, au sortir de ma première lecture de « décomposition française », j’ai eu l’idée de présenter votre essai aux suffrages du jury du prix honneur et patrie, j’ai agi en écrivain conscient de tenir là un de ces pamphlets comme les aiment les français, à savoir une charge à la fois bien structurée, sérieusement documentée et écrite par une personne à la légitimité incontestable. par parenthèse, je voudrais vous confier sans tarder un moment assez singulier de nos délibérations. comme nous parlions de vous et que vous portez un double nom, très vite quelqu’un prit un chemin de traverse et lança votre prénom, qui fut repris aussitôt par un autre juré, si bien que l’affaire fut entendue et que chacun s’accorda à vous dénommer malika. je vis là un signe favorable. je ne me trompai point, puisque, au deuxième tour, vous l’emportiez sans conteste. et me voici devant vous, madame, avec mon accablement. car, soucieux de ne pas trahir votre livre, je l’ai relu et si fort annoté que, ma relecture terminée, j’ai découvert que j’avais coché chaque page (ou presque) et souligné votre texte plus que de raison. bref, de cette lecture ô combien attentive je suis sorti « décomposé ». et je ne joue pas sur les mots. c’est à un étrange voyage que vous nous conviez. cette idée de voyage revient plusieurs fois sous votre plume, comme si vous cherchiez à vous prémunir contre ce pays inconnu qui s’appelait autrefois la france, que vous aimiez d’amour et qui n’ose plus se nommer tel, tant il ne cesse de se décomposer. à cet égard, typique sinon exemplaire apparaît dominique de villepin qui, devant l’afflux désordonné d’immigrés maghrébins et africains, n’hésite pas à évoquer la survenue tumultueuse des italiens, comme si pouvaient se comparer culture musulmane et culture chrétienne. d’entrée de jeu, vous soulevez la question primordiale, que personne ne veut aborder et encore moins désigner à cause de cette laïcité, née de la loi de 1905, qui consacre la victoire de la république athée sur l’église catholique, porteuse, comme la religion juive et l’église réformée, de la révélation divine. du fait de cette sacro-sainte laïcité, il est évident qu’est ignoré, et superbement ignoré, tout ce qui touche au religieux. or, comme l’immigration actuelle est avant tout de religion musulmane, les élites politiques de notre pays, aussi dépourvus que la cigale du fabuliste à l’arrivée de l’hiver, feignent de n’en rien savoir et se contentent d’invoquer le social, le politique, l’historique, bref, tout ce qui nourrit l’ignorance, la méconnaissance, la méprise. depuis molière et ses « précieuses ridicules », nous cultivons l’art de ne pas donner leur véritable nom aux problèmes qui se posent à nous, ajoutant ainsi au malheur du monde, selon le mot admirable de mon maître albert camus. madame, figurez-vous que, étant affligé par tout ce que vous dévoilez du manque de courage de nos élites, il m’est tout de même arrivé d’éclater de rire. et en effet, quelle bonne idée vous avez eue de reprendre, en exergue, quelques lignes du discours sur la condition des grands du cher et vénéré blaise pascal ! je ne résiste pas au plaisir de le citer : « que diriez-vous de cet homme qui aurait été fait roi par l’erreur du peuple, s’il venait à oublier tellement sa condition naturelle qu’il s’imaginât que ce royaume lui était dû, qu’il le méritait et qu’il lui appartenait de droit ? » grands dieux, qui ne souscrirait à ces lignes et qui n’y projetterait tel ou tel nom d’actualité ? madame, après ce rire salvateur, permettez-moi de m’arrêter à une page où, délaissant le devoir de réserve, vous vous livrez. m. sarkozy vient de vous décorer de la légion d’honneur et vous dit : « vous êtes à la fois le symbole et le défenseur de l’unité et de l’universalité de la république française ». sur quoi, vous y allez d’une belle confidenc